L’usine Northvolt ou la puissance de l’industrie automobile

Photo: Bouchecl (Wikipédia)

D’ici 2035, la vente de voitures à essence sera interdite au Québec, tout comme dans plusieurs juridictions du monde. La survie de l’industrie automobile dans une planète en transition dépend de sa capacité à créer et entretenir le mythe de la voiture électrique verte.

Le Grand Prix des paradis fiscaux et de la pollution

Photo: JP Valery (Unsplash)

Cette fin de semaine aura lieu la 42e édition du Grand Prix du Canada. L’occasion est bonne pour rappeler les parts d’ombre de cet événement que l’on reconduit année après année malgré ses travers en matière de fiscalité, d’écologie et d’exploitation sexuelle.

Faut-il interdire les publicités de voitures à essence? (1)

Soulignons l’incongruité : d’ici 2035, les voitures à essence neuves seront interdites de vente au Québec, car jugées nuisibles à l’environnement. Or, d’ici à ce que le couperet tombe, les publicités commerciales pour ces voitures se poursuivent sans ménagement, comme si le danger écologique des voitures à essence n’allait être réel qu’en 2035.

Le graphique du mois : une automobile par conducteur en 2020?

Photo: Caribb (Flickr)

Chaque année, je me surprends de certaines statistiques qui sont partagées à propos de l’utilisation des véhicules motorisés. Ainsi, on apprenait en 2019 que « [c]haque Québécois en âge de conduire possède en moyenne 1,06 véhicule ». Évidemment, cette donnée est intéressante et troublante, mais elle inclut des véhicules dont l’utilisation, bien que polluante, n’est pas la principale responsable des émissions de GES du Québec.