Étiquette : Hydro-Québec
Liaisons dangereuses: quand le privé imposait sa loi dans le secteur de l’électricité
Généralement associée à la Révolution tranquille, l’histoire de la nationalisation de l’électricité québécoise est en réalité beaucoup plus vieille.
Projet de loi 69: vers la fin du monopole d’Hydro-Québec sur la distribution d’électricité?
Le gouvernement de la CAQ a déposé aujourd’hui un projet de loi sur le cadre réglementaire entourant la production et la distribution d’énergie au Québec.
Pourquoi Hydro-Québec compense-t-elle Énergir et combien ça va coûter ?
Une entente survenue entre Énergir et Hydro-Québec a fait couler beaucoup d’encre dans les dernières semaines, et avec raison, car on estime qu’entre 2022 et 2030, celle-ci coûtera à Hydro-Québec plus de 400 millions de dollars. Si l’entente reste la même, ce montant pourrait même atteindre près de 1,2 milliard de dollars en 2036 et 2,4 milliards de dollars d’ici à la fin 2050. Voyons pourquoi.
Inflation: que peuvent faire les gouvernements ? (2)
Dans notre précédent billet, nous avons vu que plusieurs facteurs expliquent la hausse marquée de l’inflation, dont la paralysie des chaînes d’approvisionnement et la hausse des prix de l’énergie. On ne peut donc pas expliquer la situation actuelle par des décisions gouvernementales ou une hausse marquée des salaires et de la consommation.
Hydro-Québec se débarrasse de ses divisions: quel impact pour vous?
Économie d’énergie : il est temps de faire mieux
Trop beau pour les clients d’Hydro
Les publicités sont partout : à la télé, sur le web et même sur les BIXI. Hilo, c’est la toute nouvelle filiale d’Hydro-Québec. Elle se présente comme « un service clés en main qui, en plus de vous aider à réduire votre consommation d’énergie, vous remet de l’argent. C’est presque trop beau ! ». En effet. Alors, comment est-ce qu’Hilo peut être rentable ? D’où proviennent ses revenus ? Et si c’est rentable, pourquoi une filiale ?
Nos tarifs d’électricité vont-ils financer GNL Québec?
Bien que GNL Québec ait embauché plusieurs lobbyistes pour faire valoir son projet auprès du gouvernement, celui-ci n’a pour le moment annoncé aucune subvention. Cependant, GNL Québec pourra recevoir une réduction de ses coûts d’électricité en vertu de programmes actuellement en vigueur.
6 autres raisons de se méfier de la réforme des tarifs d’Hydro-Québec proposée par la CAQ
Plus d’argent dans nos poches ! C’est ce que promet le gouvernement de François Legault avec son projet de loi 34 qui prétend remettre 1,5 G$ aux client·e·s d’Hydro-Québec. Mais, comme nous l’avons démontré dans notre fiche publiée en août dernier, cette promesse risque de coûter cher aux Québécois·es tout en réduisant les pouvoirs de la Régie de l’énergie, qui agit comme chien de garde dans le processus de fixation des tarifs d’électricité.
Alors que s’amorce la commission parlementaire sur le projet de loi, nous souhaitons ajouter quelques arguments afin d’expliquer en quoi cette loi n’est pas souhaitable.
Remise des trop-perçus d’Hydro-Québec : jeter le bébé avec l’eau du bain
Le gouvernement Legault exige qu’Hydro-Québec redonne 1,5 G$ à ses clientes et clients dans les 5 prochaines années par l’entremise d’un nouveau projet de loi déposé ce mercredi. Cela peut certainement paraître comme une bonne nouvelle et un bon coup politique du nouveau gouvernement Legault qui tente de remplir une de ses promesses électorales tout en terminant sa première session parlementaire sur une annonce positive. Cependant, le projet de loi numéro 34 comporte de nombreux problèmes qui risquent à terme de ne pas favoriser les consommateurs et les consommatrices. Regardons cela de plus près.
L’État et ABI : le courant ne passe plus
Depuis le 11 janvier 2018, l’Aluminerie de Bécancour inc. (ABI) a mis ses 1030 employés en lock-out. Comme l’a signalé Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, cette situation provoque des dommages humains et sociaux importants sur les travailleurs et travailleuses touchés et leur famille. Ce conflit semble illustrer les tendances grandissantes du recours au lock-out et de l’intensification des conflits de travail, relevé dans un récent article de la Revue RH. Ce conflit semble également représentatif de l’incapacité de l’État à assurer un équilibre dans les relations de travail au Québec.