La compagnie Amazon est le deuxième employeur privé au monde, et son patron, Jeff Bezos, un des hommes les plus riches de la planète.
Étiquette : concurrence
Économie 101: l’offre et la demande
À quoi bon un palmarès des cégeps?
Samedi dernier, le Journal de Montréal et le Journal de Québec publiaient « avec fierté » le tout premier palmarès des cégeps, qui compare les taux de diplomation des 52 collèges publics du Québec. Alors que la date limite pour soumettre une demande d’admission au cégep approche, on dit offrir un outil d’information précieux pour aider les élèves de cinquième secondaire et leurs parents à faire leur choix.
Faut-il mettre fin au monopole de la SAQ?
Aux yeux des partisans du libre marché, le fait que des entreprises publiques aient l’exclusivité sur certains secteurs de l’économie apparaît comme une aberration des plus scandaleuses. C’est pour cette raison que surgit de manière périodique dans l’espace public l’idée de privatiser en totalité ou en partie la Société des alcools du Québec (SAQ), un projet porté par la volonté de libérer les consommateurs et les consommatrices québécoises des griffes de notre « soviet des alcools ».
La contre-révolution Barrette
Le ministre Gaétan Barrette est peut-être le politicien québécois qui ressemble le plus à Stephen Harper. Comme l’ancien premier ministre du Canada, il passe de la parole aux actes sans broncher alors qu’il écrase un après l’autre les contrepoids du parlementarisme, de l’administration publique et même de la science. Ils en retirent une grande popularité parce qu’ils maîtrisent l’art des communications, mais au passage, ils brisent un à un les attributs de la démocratie parlementaire.
La CREPUQ est morte : vive la concurrence
Depuis plusieurs années, et durant le conflit étudiant, la Conférence des recteurs et principaux du Québec (CREPUQ), instance de représentation des recteurs.trices d’université, exerçait des pressions fortes en faveur de la hausse des frais de scolarité et de « l’internationalisation » universitaire, c’est-à-dire de l’adaptation de nos universités à l’économie globalisée. Avril 2013, coup de théâtre : les recteurs Denis Brière (ULaval) et Guy Breton (UdM) parlent de quitter le navire, rapidement suivis par 12 de leurs 18 collègues recteurs. Rien ne va plus au royaume des recteurs…pourquoi?