Lorsque le Vérificateur général (VG) par interim a remis son rapport la veille du budget du Québec, l’attention s’est concentrée sur la méthode douteuse utilisée par Michel Samson (le VG) pour mesurer l’ampleur du déficit budgétaire. Une semaine plus tard, le VG remettait son rapport régulier et c’est le manque de coopération cette fois d’Hydro-Québec qui a accaparé l’attention du public (un fait embêtant que l’IRIS a également subi à plusieurs reprises dans le passé). Tout ceci a relégué au second plan les remarques du VG consignées au chapitre 6 sur les médicaments payés par le réseau hospitalier du Québec.
Or, les constats qu’on y trouve sont importants.