Pourquoi nous choisissons la discrimination positive

À l’IRIS, suffit de regarder la page « chercheur·e·s » pour s’apercevoir que l’équipe est plus masculine que féminine : sur 11 chercheur·e·s, trois sont des femmes. Ce n’est pas mieux du côté des chercheur·e·s associé·e·s où se trouvent trois femmes sur la douzaine que nous avons.