Pour une 5e année consécutive, le Conseil du patronat du Québec (CPQ) nous fait l'honneur de publier son bulletin de la prospérité. Encore une fois, la note conférée au Québec (C) donne l’impression que nous n’en ferions pas assez pour favoriser la croissance économique.
La fiscalité est bien entendu au centre des critiques, tout comme les coûts de rémunération des salarié.e.s ou encore la forte présence syndicale qui distingue le Québec des autres provinces canadiennes. Cela n’a pas grand-chose de surprenant : le CPQ nous a toujours habitué à privilégier ses propres intérêts à ceux de l’ensemble de la population.