Hier, dans Le Devoir, une lettre signée par les président-e-s des Ordres professionnels du Québec prétend que les difficultés que rencontrent les immigrant-e-s pour faire reconnaître leurs diplômes ne relèvent pas d’un « corporatisme indu » de leur part mais d’autres motifs tels que les règlements gouvernementaux ou encore les difficultés socio-économiques.
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