Dans un texte publié récemment, Mark Milke soulignait la dépendance du Québec aux transferts fédéraux et affirmait qu'elle diminuerait sa capacité à réaliser son indépendance politique du Canada. En faisant une lecture tronquée d’une note socio-économique réalisée par mon collègue Francis Fortier, il n’est pas parvenu à en saisir les arguments de fond, ni même les démonstrations les plus simples. Je tenterai ici d’exposer différemment ces arguments, mais également de répondre à la question posée par Mark Milke à savoir si la fin du rapport au gouvernement fédéral serait un lourd handicap économique pour un éventuel Québec indépendant.
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