Comment définir une position progressiste sur les transferts canadiens en santé ?

Faut-il se ranger du côté de Gaétan Barrette et des revendications historiques du Québec ? Ou faut-il voir en Jane Philpott un rempart désespéré contre le travail acharné de démolition du système socio-sanitaire québécois par le premier ? Ou faut-il adopter la simplicité volontaire libertarienne de l’Institut économique de Montréal (IEDM) qui proposait dans Le Devoir jeudi de ne pas trop s’en faire avec les transferts et de plutôt accélérer la mise en compétition des hôpitaux ?