L’odieux de la Formule 1 est moins de continuer d’exister en dépit de la crise écologique, que de reposer sur un modèle d’affaires dont la rentabilité suppose l’injection massive de fonds publics.
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L’odieux de la Formule 1 est moins de continuer d’exister en dépit de la crise écologique, que de reposer sur un modèle d’affaires dont la rentabilité suppose l’injection massive de fonds publics.